Á la recherche du temps perdu

Cette œuvre est, sans doute, la plus grande élaboration littéraire de toute l’Histoire de la Littérature. Aucune autre œuvre a dépeint comme À la recherche du temps perdu tous les aspects de la vie humaine ; elle est comme une encyclopédie de l’humanité moderne. Elle est une œuvre qui explore l’esprit humaine comme il n’avait jamais fait une autre œuvre. La perfection d’usage du langage, la perfection stylistique, la perfection des descriptions d’absolument toutes les choses que nous pouvons trouver pendant notre existence.

Cependant, cette œuvre-ci sur laquelle nous parlons a été refusée pour André Gide pour l’éditer. L’écrivain, logiquement, s’est repenti après, mais Proust n’a pas oublié facilement cette offense.

Pendant le déroulement de l’œuvre, dont lecture est aussi énormément ardue, il y a plusieurs éléments autobiographiques de Proust qui ont été très utiles au critiques pour reconstruire la mentalité et sentiments de l’auteur. Des autres ont dit que l’œuvre est un monument au langage, une création dans laquelle la langue est la vraie protagoniste de l’histoire.

Il y a aussi quelques fragments du livre que, dû à sa magne extension, n’ont pas été corrigés par Proust parce qu’il n’a pas eu de temps pour le faire. Il est aussi dû à son extension que l’œuvre est éditée en plusieurs volumes, en dépit de que l’auteur voulait que toute l’œuvre était éditée en un unique volume, mais ça serait impossible parce qu’il serait un livre de plus ou moins 3000 pages.

Alors, pour finir, on conclut que À la recherche du temps perdu est l’œuvre où culmine le phénomène du Avant-garde, et aussi l’œuvre où la perfection stylistique, idiomatique, formelle, descriptive, réaliste et introspective est portée sur le papier pour le plaisir du lecteur, qui a devant ses yeux un grand défi, possiblement le plus grand de toute l’Histoire de la Littérature.

Et ici nous finissons notre rêve, qui est un rêve infini, aussi long comme l’existence de l’Humanité, et qui peut toujours nos montrer merveilles n’imaginées pas encore.